Extraits de presse
Dans L’Or du duc, l’histoire, le jeu des acteurs, les décors et les images dégagent un charme si délicat, si irisé. Avec, outre la fantaisie à la Clair surtout sensible dans le mouvement de ce film-poursuite, une tendresse farfelue, une loufoquerie gentiment débridée qui rappelle les meilleurs Frank Capra d’avant-guerre, et une cocasserie aimablement surréaliste dans les environs de laquelle on ne s’étonne plus de voir figurer le nom de Charles Trenet, auteur des lyrics.
Jean-Louis Bory (Arts)
L’œuvre de Jacques Baratier est mince, encore sinueuse et incertaine. Mais une sensibilité délicate lie l’un à l’autre ces maillons. Un humour acide, une révolte réprimée, une bonté authentique, y trahissent la permanence d’un auteur.
Pierre Billard (L’Express)
Les auteurs ont au moins un mérite : entre la poésie et la fantaisie, leurs bons offices de médiateurs s’exercent avec délicatesse et sensibilité. Même s’ils ne réussissent pas à la mesure de leurs espoirs, ils font une œuvre estimable. Et souriante.
Louis Chauvet (Le Figaro)
Un conte moderne où Jacques Baratier nous entraîne dans les sentiers sinueux d’une fantaisie poétique très concertée. Il faut autant de fraîcheur d’âme aux spectateurs qu’aux personnages.
Robert Chazal (France Soir)
Ce film est avant tout une belle histoire en images, aux détails savoureux, fait entièrement de petits riens, d’inventions touchantes ou farfelues.
Samuel Lachize (L’Humanité)
La fable est jolie et la satire plaisante ; le film déroute et charme tout à la fois par son humour venu d’ailleurs. L’image suivante est toujours inattendue.
Paule Sengissen (Télérama)
Tout cela est inattendu, gracieux, aimable, gentil, fleur bleue.
Michel Duran (Le Canard Enchaîné)