Le Désordre à vingt ans a le charme des albums de famille.
Les Echos
Saint-Germain-des-Prés entre dans l’Histoire. Par la petite porte : celle du souvenir.
L’Express
La composition du film et son montage ont le charme et la désinvolture qui sont de règle en ces lieux.
Le Figaro
Un film que ceux qui ont connu cette époque voudront voir et que tous ceux qui sont curieux de l’aventure de Saint-Germain-des-Prés se doivent de connaître.
Robert Chazal (France Soir)
En plus de son contenu historique et littéraire important, Le Désordre a vingt ans doit éveiller chez le spectateur qui le verra, en particulier chez celui qui a maintenant vingt ans, l’idée que de tout temps, des hommes ont aidé à la progression du monde des Arts et des Lettres, responsable en partie de la transformation de l’homme et qu’ils doivent, pour que leurs œuvres ne soient pas inutiles, être défendus, imités par la plupart d’entre nous.
Gérard Langlois (Les Lettres françaises)
C’est d’abord le film de l’amitié, de la fidélité, des vieux souvenirs évoqués entre copains, la chronique sentimentale et brouillonne d’une époque devenue vaguement fabuleuse. Pour ceux qui vécurent au jour le jour cette époque, c’est aussi le film des confrontations, chacun des témoins étant naturellement tenté d’opposer ou de mêler son propre cortège de fantômes à celui de Jacques Baratier.
Jean de Baroncelli (Le Monde)
Cette série de portraits cinématographiques est un témoignage étonnant, et parfois outré, car l’imposture farfelue et le nihilisme affecté y côtoient les inspirés véritables et les figures de proue. Au spectateur de parachever la sélection déjà entamée par le temps.
Le Soir (Bruxelles)