Ce court-métrage est la suite naturelle du Désordre a vingt ans. Ces beatniks sont apparus à Baratier comme les successeurs des existentialistes de 1947. Eux aussi cherchent à ouvrir des portes, à échapper à leur prison.
Jean de Baroncelli (Le Monde)
Ce reportage sensible, lyrique me paraît d’une profonde honnêteté morale et d’une très grande importance.
Henry Chapier (Combat)
Jacques Baratier est plus doué pour les courts métrages. Il en apporte encore la preuve avec Eden Miseria, reportage attentif sur les beatniks.
Jean-Louis Tallenay (Télérama)